vendredi 18 juillet 2025

Un nouvel extrait du Nirat Phukhaw Thong

      Je propose une traduction française d’un autre extrait du Nirat Phukhaw Thong de Sunthorn Phu. Le texte thaï et la traduction sont à découvrir ici.

lundi 14 juillet 2025

The Jataka Tales

      Le site https://thejatakatales.com/ propose en traduction anglaise la totalité des jataka (traduits du pali), à savoir les vies antérieures de Siddhartha Gautama Bouddha. Un site très utile pour ceux qui s'intéressent au bouddhisme.

mardi 8 juillet 2025

Un quatrain du Nirat Muang Kleng

       Nous proposons de nouveau un extrait traduit des œuvres de Sunthorn Phu. Il s’agit d’un quatrain tiré du Nirat Muang Kleng (นิราศเมืองแกลง), composé en 1807. Le docume t, qui contient le texte thaï, un essai de traduction et des notes philologique, est téléchargeable ici.

samedi 5 juillet 2025

Nouveau ! Clavier thaï pour Mac

       Je propose, en téléchargement libre (et aussi librement modifiable !) un clavier thaï pour Mac. Pour cela, veuillez cliquer sur l'onglet « Claviers Mac » ci-dessus pour y accéder et lire les consignes d’installation (en bas de page). Il vous permettra de taper n’importe quel texte en thaï, langue fascinante et d’une richesse littéraire remarquable. D’autres publications sur la langue thaï vont suivre dans les prochains jours. Cela a déjà commencé avec mon billet du 1er juillet, consacré à Sunthorn Phu. 

mardi 1 juillet 2025

Un quatrain de Sunthorn Phu : texte et traduction

     Le quatrain traduit dont nous proposons une traduction ici est tiré du นิราศภูเขาทอง (Nirat de la Montagne d’Or), une des œuvres poétiques majeures de Sunthorn Phu (1786-1855). Ce long poème, composé aux alentours de 1828, exprime l’amertume d’un auteur en pleine errance : quitté par sa femme Chan, il perdit la faveur du roi Rama II, puis il fut expulsé de son monastère en raison de son ivrognerie. Conformément au genre du nirat, l’auteur s’empare de l’homophonie des noms des lieux qu’il traverse pour rappeler ses amours passées, qu’il évoque avec regret. Ainsi, dans l’extrait ci-dessous, en mentionnant son passage par la ville de Bang Cak, Sunthon Phu fait suivre le toponyme de la préposition cak (« de, loin de »), qui rappelle le Cak de Bang Cak. Il déclare ainsi, en arrivant à Bang Cak, qu’il se sent « loin de » (cak) de son monastère et de sa famille, puis il évoque à demi-mot sa rupture avec Chan, qui l’avait quitté en raison de ses mœurs dissolues.