Je propose une nouvelle traduction d’un poème d’Alexander von Württemberg, Der alte Soldat, dont voici un extrait :
« Je n’ai ni femme ni enfant,
Mes camarades ont péri ;
Et je n’ai pour seules amies
Que ces profondes meurtrissures.
Mon sommeil à minuit est effarouché
Par la brûlure de mes béantes plaies ;
Alors je songe, heureux, à mainte bataille,
Aux heures glorieuses de la victoire. »
A télécharger en intégralité ici :
http://drive.google.com/uc?export=download&confirm=no_antivirus&id=13ZSqdmDI0K0iVUJfvEGk9R6rMhGPufRl